A dos (projet social jeunesse)
quand l’adolescence devient spectacle
Imaginé par Céline Tillier & Frédéric Ambrosio
Présentation complète
Un spectacle interactif pour « clasher » les ados!
Mais aussi pour parler avec eux du monde, de l’actualité, des façons de vivre l’adolescence dans les différentes civilisations, pays, cultures, époques, jusqu’à l’enfant sauvage.
Un spectacle contre le formatage, contre la vision unique.
Un spectacle pour leur rappeler que le monde leur appartient, en toute liberté.
La mise en scène doit faire éclater les codes du théâtre, dans son langage comme dans sa scénographie. Dissoudre le 4 ème mur. Abolir les repères classiques
« public/scène ». Laisser des espaces à l’intérieur du spectacle pour une interaction du public dans une écriture de plateau qui se fait en direct, à chaque représentation. Des connections live (Skype, Facebook, Instagram, Snapchat …) avec des ados qui se trouvent dans d’autres pays.
Restituer par moment l’effervescence du direct d’une compétition sportive, comme un match de foot, en pensant à Carmelo Bene.
Images projetées et son créé par des ados. Utiliser également des langages propres aux ados avec le slam, les battle clash, le rap, les punchlines… Comme dans le Hip-Hop créé « le cercle » avec le danseur au milieu.
Pour faire découvrir le théâtre à la jeunesse, La Cie du Cèdre crée des ateliers à l'année pour les 6-18 ans mais veut aussi aller à leur rencontre, déplacer le théâtre pour le faire entrer dans l’univers des jeunes : les établissements scolaires. Des interventions régulières tout au long de l’année permettent de mettre en place des séances de travail, d’impro, d’écriture.
Si le parcours de création théâtrale de la compagnie est très lié au travail d’intervention culturel en direction du jeune public ou des publics à caractère social, Céline et Fred savent bien sûr qu’on ne peut pas attendre de ces projets des « miracles », du moins des résultats immédiats et qu’on ne fait pas du théâtre pour éteindre les incendies et que l’efficacité des projets ne se construit que sur du long terme.
Mais heureusement l’imaginaire a des pouvoirs libérateurs étonnants!